Dépendances
Editeur: Arbre Vengeur Date de parution: 15/10/2009 EAN: 9782916141367 Langue du livre: Français Nature de l’article: Livre
6 200 Ft
Catégorie: Littérature
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Présentation

Eredeti cím: "Napló"

Érotomane. Graphomane. Morphinomane. Chacun de ces qualificatifs définit à un moment ou un autre la figure de Géza Csàth, homme aux multiples dépendances. Près d'un siècle après sa mort, il continue, en Hongrie d'où il est originaire, et dans le monde où son oeuvre est largement traduite, à susciter interrogations et impressions contradictoires. Avec son journal enfin traduit en français, on découvre la face cachée de cet écrivain génial qui mit à se torturer une passion toute particulière. Oeuvre littéraire exceptionnelle née en marge de la psychanalyse balbutiante, ce Journal intime dévoile les facéties libertines et féroces d'un héritier de Casanova se muant peu à peu en victime d'une terrible tragédie. L'écriture ne pardonne pas, croit-on savoir : en voici une preuve stupéfiante. © Arbre Vengeur

L'auteur / la collection

Joszef Brenner, né en 1887 à Szabadka en Hongrie mena de front une double activité, celle de médecin et psychiatre sous ce premier nom, et celle d’écrivain sous celui de Géza Csáth. Ami intime de Dezsö Kosztolànyi, il fut actif parmi l’avant-garde de la revue Nyugat tout en s’ouvrant aux idées neuves de Freud. Devenu toxicomane, il plongea peu à peu dans une folie qu’il savait fatale. Il se suicida en 1919 après avoir assassiné sa femme. © L'Arbre vengeur

József Brenner, conocido por el seudónimo Géza Csath, escritor con aura de maldito, siempre escribió en húngaro, un bello y extraño idioma que no tiene raíces comunes con ninguna otra lengua europea, pero magnífico para expresar con la mayor precisión lo difícilmente expresable. Csáth se malogró por su adicción a la morfina y murió joven, y a pesar del conocimiento y práctica de la psiquiatría, de su cultura versátil –crítico musical afinado, autor teatral innovador representado en la actualidad en los teatros europeos más prestigiosos–, acabó suicidándose después de matar a su esposa y protagonizar una accidentada huida del hospital en donde se le atendía tras su intento de suicidio. Fue en el curso de esa escapada cuando Géza Csáth logró por fin darse muerte. Tras publicar Cuentos que acaban mal El Nadir presenta ahora una primera traducción de El Diario, descarnado relato de la búsqueda incontenible del placer, el sexo y la muerte.